samedi 22 février 2014

CAS PRATIQUES DE COTATION D’ACTES INFIRMIERS : Cas N°3 proposé par Monia

CAS PRATIQUES DE COTATION D’ACTES INFIRMIERS                  Proposé par Monia

Cas pratique 3
Voici mon cas concret: Alimentation parentérale suivie d’une gastrotomie
Patiente âgée de 45 ans, atteinte d'un cancer de l’œsophage traité par chimio, puis séances de radiothérapie. 




L'alimentation parentérale se faisait sur une chambre implantable dans un premier temps.
Le patient continue à perdre du poids, donc le chirurgien décide de l'opérer et de mettre une gastrostomie.


A son retour d’hospitalisation, la prescription est la suivante.

mercredi 19 février 2014

CAS PRATIQUES DE COTATION D’ACTES INFIRMIERS - CAS N° 2

CAS PRATIQUES DE COTATION D’ACTES INFIRMIERS
Synthèse du précédent cas :
Le premier cas pratique présenté a obtenu avec succès plus de 130 échanges de vue de grande qualité, nous permettant de dire que ce type d’exercice entre les idel sur des questions qui les préoccupent au quotidien représente un réel besoin permanent dans la profession.
Nous avons pu observer que la solution de cotation la plus adaptée pour les actes pratiqués par les idel comportait toujours un degré d’incertitude provenant du fait que les caisses d’assurance maladie ne sont pas en mesure de donner des réponses claires sur les interprétations qu’elles adoptent des définitions des actes dans la NGAP.
L’inquiétude des idel qui souhaitent constamment rester dans les limites de « tact et mesure » est provoquée au fil de ces dernières années par la disparition des anciens services RPS (relations avec les professionnels de santé) qui assuraient avant un dialogue permanent avec les caisses.

lundi 17 février 2014

CAS PRATIQUES DE COTATION D’ACTES INFIRMIERS : Cas n° 1

Préambule
Nous souhaitons publier une série de cas pratiques de cotation d’actes infirmiers réalisés par des idel dans des situations vécues auprès de leurs patients.
Le but : échanger les expériences, préparer des arguments de défense en cas de litige sur les cotations ou plus globalement sur la remise en question des facturations par les caisses.
Nous savons que chacun parmi les idel a déjà étudié la NGAP. Toutefois, ce document établi unilatéralement par la CNAM pour servir de réglementation aux différentes caisses d’assurance maladie, présente de nombreux défauts quant à l’interprétation de ses articles. De surcroît en pratique, lorsqu'une précision est demandée aux caisses d’assurance maladie sur la définition d’un acte ou de sa cotation, l’agent SS chargé de répondre renvoie à la lecture de la NGAP sans pouvoir s’engager sur l’interprétation qui sera faite ultérieurement de ses articles lors des contrôles. Des contrôles qui ne cessent de se multiplier depuis 5 ans, effectués par des services investigations et répression des fraudes qui ne connaissent que les statistiques très contestables, issues de traitements informatisés incontrôlables.  
Cas pratique 1
(Adressez-nous le cas que vous souhaitez mettre à l'étude par mail à : informidel@gmail.com)
Une patiente de + de 75 ans, état de santé physique et psychologique difficile, diabétique, insulinodépendante, en difficulté pour effectuer ses soins d’hygiène et dans l’incapacité totale de gérer son traitement thérapeutique.
La prescription médicale complémentaire à la DSI établit avec précision les heures de passage (contrôle glycémie et injections insuline), 7h, 12h et après19h tous les jours dimanche et fériés compris.
Nous résumerons l’étude à la cotation établie au cours d’une seule journée, soit un dimanche :
1ère solution